IFEX = Der neue Internet Auftritt steht kurz vor der Veröffentlichung !!! - 500 Beiträge pro Seite
eröffnet am 07.03.05 17:41:13 von
neuester Beitrag 11.03.05 18:09:21 von
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der Witz ist doch schon uralt
© 2004 IFEX
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hallo gestern waren hier noch 2 Postings mehr
Wärs schon, wenn ein eintrag wäre wenn was gelöscht wird...
Danke
seven
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Der Link zur deutschen IFEX
http://www.wallstreet-online.de/si/charts/charttool.php?edit…
http://www.wallstreet-online.de/si/charts/charttool.php?edit…
Philips et Siemens (Osram) ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????
NANOTECHNOLOGIES - NanoLight veut transformer le marché de la lumière
La start-up helvético-suédoise lève actuellement 1,2 million de francs suisses pour des débuts commerciaux l’an prochain.
Fabrice Delaye
Dans les livres qui racontent le progrès technique, l’ampoule électrique revient toujours comme la mère des innovations. Inventée par Edison, l’ampoule à filament est devenue un marché de masse. Il s’en vend 30 millions par jour dans le monde. Et elle a donné naissance à la quintessence du groupe industriel General Electric, qui, avec Philips et Siemens (Osram), contrôle le marché.
Innover dans ce domaine n’est donc pas chose facile. Pourtant, NanoLight (www.nanolight. ch), une start-up créée à Genève par quelques «business angels» suisses et suédois sur la base d’une invention suivie de développements réalisés dans le cadre de l’Institut de physique des nanostructures de l’EPFL, pense que c’est possible. Elle s’y emploie depuis 1999 au niveau de la R&D. Et elle commence à voir la lumière au bout du tunnel.
A l’origine de cette innovation, on trouve le physicien André Châtelain et son groupe au poly lausannois. En travaillant sur les nanotubes de carbone, une structure découverte en 1991 chez NEC au Japon, ces chercheurs se sont rendu compte que ces tubes minuscules représentent un canon à électrons extrêmement efficaces. Ils ont mis au point des procédés qui hérissent un fil de métal avec ces nanotubes, qui deviennent autant de petits canons à électrons. En bombardant un phosphore, cela permet l’émission de lumière blanche. Encapsulée dans un tube de verre, cette invention aurait pu remplacer les néons avec l’avantage de ne plus avoir besoin de recourir au polluant contenu dans les tubes: le mercure.
Mais même écolo, une bonne idée n’est de loin pas un marché. NanoLight a constaté que sa solution moins polluante est aussi moins efficace en terme énergétique que les néons au mercure. Elle a longtemps espéré résoudre la difficulté avec un autre gaz. Mais General Electric a mené des investigations dans cette piste avant de renoncer. Exit NanoLight?
La nanolumière trouve son marché
Ce serait sans compter sur l’entêtement des fondateurs suédois de l’entreprise comme Jan Kjellman. Cet ex-chercheur du CERN s’est rendu compte avec les scientifiques du laboratoire de l’EPFL que si l’application tube à néon n’est peut-être pas la bonne, il en existe d’autres. «Nos procédés de fabrication et les matières premières sont si bon marché qu’une application de masse a toutes les chances d’être compétitive», affirme Jan Kjellman.
Avec un nouveau CEO à la tête de l’entreprise, Thomas Nilsson, lui-même ancien directeur technique de Lightlab, une entreprise cotée en Suède, Nanolight reformate ses plans. Osram commercialise un éclairage plat, Planon, qui diffuse une lumière uniforme dans un carré typiquement de 30X30 cm sur 1 cm d’épaisseur. Voilà le marché. La nanolumière peut être intégrée dans des produits de formes variées, loin des limites géométriques évidentes des filaments ou des tubes.
L’existence d’un marché – Osram vend plusieurs millions de ses lampes plates chaque année – inspire un nouveau business plan à NanoLight. Il va d’abord s’agir de séduire un industriel afin de lancer un concurrent au Planon. Cela ne semble pas hors de portée dans la mesure où, avec un rendement deux fois supérieur à celui de la lampe plate d’Osram, il est aussi possible d’aboutir à un prix de vente considérablement moins élevé.
Cela dit, le problème du «not invented here», fréquent dans les partenariats entre industriels et spin-off de hautes écoles, peut gêner ce développement. Aussi Thomas Nilsson travaille-t-il sur une seconde application de la technologie d’origine suisse. La nanolumière donne une grande liberté aux créateurs de lampes et de systèmes lumineux. L’entreprise tisse donc, à l’heure actuelle, des contacts avec des designers – en particulier en Scandinavie – pour leur permettre de l’intégrer dans leurs lampes. Elle achève une levée de fonds de l’ordre de 1,2 million de francs suisses pour financer ce développement.
Enfin, au-delà, la nanolumière, qui peut être contenue dans des dispositifs extrêmement fins, pourrait trouver un débouché sur le marché des écrans plats. Ni Jan Kjellman ni Thomas Nillson ne s’illusionnent, cependant. Ce marché est surencombré. Par contre, ils disposent d’ors et déjà de prototypes d’éclairage dont la distribution est maintenant discutée avec de grandes entreprises. Peu d’entreprises «nano» sont aussi proches du marché de masse.
[f.delaye@agefi.com]
NANOTECHNOLOGIES - NanoLight veut transformer le marché de la lumière
La start-up helvético-suédoise lève actuellement 1,2 million de francs suisses pour des débuts commerciaux l’an prochain.
Fabrice Delaye
Dans les livres qui racontent le progrès technique, l’ampoule électrique revient toujours comme la mère des innovations. Inventée par Edison, l’ampoule à filament est devenue un marché de masse. Il s’en vend 30 millions par jour dans le monde. Et elle a donné naissance à la quintessence du groupe industriel General Electric, qui, avec Philips et Siemens (Osram), contrôle le marché.
Innover dans ce domaine n’est donc pas chose facile. Pourtant, NanoLight (www.nanolight. ch), une start-up créée à Genève par quelques «business angels» suisses et suédois sur la base d’une invention suivie de développements réalisés dans le cadre de l’Institut de physique des nanostructures de l’EPFL, pense que c’est possible. Elle s’y emploie depuis 1999 au niveau de la R&D. Et elle commence à voir la lumière au bout du tunnel.
A l’origine de cette innovation, on trouve le physicien André Châtelain et son groupe au poly lausannois. En travaillant sur les nanotubes de carbone, une structure découverte en 1991 chez NEC au Japon, ces chercheurs se sont rendu compte que ces tubes minuscules représentent un canon à électrons extrêmement efficaces. Ils ont mis au point des procédés qui hérissent un fil de métal avec ces nanotubes, qui deviennent autant de petits canons à électrons. En bombardant un phosphore, cela permet l’émission de lumière blanche. Encapsulée dans un tube de verre, cette invention aurait pu remplacer les néons avec l’avantage de ne plus avoir besoin de recourir au polluant contenu dans les tubes: le mercure.
Mais même écolo, une bonne idée n’est de loin pas un marché. NanoLight a constaté que sa solution moins polluante est aussi moins efficace en terme énergétique que les néons au mercure. Elle a longtemps espéré résoudre la difficulté avec un autre gaz. Mais General Electric a mené des investigations dans cette piste avant de renoncer. Exit NanoLight?
La nanolumière trouve son marché
Ce serait sans compter sur l’entêtement des fondateurs suédois de l’entreprise comme Jan Kjellman. Cet ex-chercheur du CERN s’est rendu compte avec les scientifiques du laboratoire de l’EPFL que si l’application tube à néon n’est peut-être pas la bonne, il en existe d’autres. «Nos procédés de fabrication et les matières premières sont si bon marché qu’une application de masse a toutes les chances d’être compétitive», affirme Jan Kjellman.
Avec un nouveau CEO à la tête de l’entreprise, Thomas Nilsson, lui-même ancien directeur technique de Lightlab, une entreprise cotée en Suède, Nanolight reformate ses plans. Osram commercialise un éclairage plat, Planon, qui diffuse une lumière uniforme dans un carré typiquement de 30X30 cm sur 1 cm d’épaisseur. Voilà le marché. La nanolumière peut être intégrée dans des produits de formes variées, loin des limites géométriques évidentes des filaments ou des tubes.
L’existence d’un marché – Osram vend plusieurs millions de ses lampes plates chaque année – inspire un nouveau business plan à NanoLight. Il va d’abord s’agir de séduire un industriel afin de lancer un concurrent au Planon. Cela ne semble pas hors de portée dans la mesure où, avec un rendement deux fois supérieur à celui de la lampe plate d’Osram, il est aussi possible d’aboutir à un prix de vente considérablement moins élevé.
Cela dit, le problème du «not invented here», fréquent dans les partenariats entre industriels et spin-off de hautes écoles, peut gêner ce développement. Aussi Thomas Nilsson travaille-t-il sur une seconde application de la technologie d’origine suisse. La nanolumière donne une grande liberté aux créateurs de lampes et de systèmes lumineux. L’entreprise tisse donc, à l’heure actuelle, des contacts avec des designers – en particulier en Scandinavie – pour leur permettre de l’intégrer dans leurs lampes. Elle achève une levée de fonds de l’ordre de 1,2 million de francs suisses pour financer ce développement.
Enfin, au-delà, la nanolumière, qui peut être contenue dans des dispositifs extrêmement fins, pourrait trouver un débouché sur le marché des écrans plats. Ni Jan Kjellman ni Thomas Nillson ne s’illusionnent, cependant. Ce marché est surencombré. Par contre, ils disposent d’ors et déjà de prototypes d’éclairage dont la distribution est maintenant discutée avec de grandes entreprises. Peu d’entreprises «nano» sont aussi proches du marché de masse.
[f.delaye@agefi.com]
!
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Ich hab es die letzten Tage schon gesagt, die neue Homepage steht kurz vor der offiziellen Einstellung ins Netz.
Die Amgate Seite ist ja nur den W Usern bekannt und wurde durch mich und Saskia entdeckt.
Ich hatte seinerzeit ein PDF Demo auf www.EBN.de per Suchmachine gefunden es war die Amgate-Homepage-Demo und Saskia hat promt die auf der PDF-Datei abgedrucktr URL ausprobiert, und siehe da, es war die Amgate-Testseite, die bis heute weiterentwickelt wurde.
Der Coutdown steht kurz bevor, die meisten kenne diese Seite überhaupt nicht.
Also wird im März noch eine Adhoc kommen mit der Bekanntgabe des neuen Homepage.
Die Amgate Seite ist ja nur den W Usern bekannt und wurde durch mich und Saskia entdeckt.
Ich hatte seinerzeit ein PDF Demo auf www.EBN.de per Suchmachine gefunden es war die Amgate-Homepage-Demo und Saskia hat promt die auf der PDF-Datei abgedrucktr URL ausprobiert, und siehe da, es war die Amgate-Testseite, die bis heute weiterentwickelt wurde.
Der Coutdown steht kurz bevor, die meisten kenne diese Seite überhaupt nicht.
Also wird im März noch eine Adhoc kommen mit der Bekanntgabe des neuen Homepage.
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ich kenn die Seiten schon über 2 Jahre!!!
Nur den Inhalt merk ich mir nicht so gut...
Hatte zum Schluß noch 42 Aktien- das waren mal vor langer Zeit um die 4000 oder 40000 ich weiss es nicht mehr.
Hab sie verschenkt(versenkt) da ich mein Depot in D aufgelösst hab- verkauf wäre zu teuer gewesen
seven
Nur den Inhalt merk ich mir nicht so gut...
Hatte zum Schluß noch 42 Aktien- das waren mal vor langer Zeit um die 4000 oder 40000 ich weiss es nicht mehr.
Hab sie verschenkt(versenkt) da ich mein Depot in D aufgelösst hab- verkauf wäre zu teuer gewesen
seven
seven ich denke aber schon das hier ein verdoppeler drin wäre, 
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